Rache venait d'apparaitre en pein millieu d'un place bondée un jour de marché. la cahnce avec lui, personne ne le vit se matérialiser au millieu de la foule, mis à part queluqes vieillards séniles et des enfants en bas âges, qui raconteraient plus tard avoir vu un homme surgfir du néant. un ange probalement.
le moine fut happé par le bruit qui règnait dans le marché. les cris fusaient, les gens haletaient, les enfants pleuraient, les enclumes résonnaient. Un joyeux vacarme qui étourdit rache, habitué au calme de son monstère.
Il s'engouffra dans une ruelle sombre, fuyant la foule et le bruit. il ferait sdon enquête dans l'ombre et les bar mal famés. C'était beaucoup moins fatiguant. Il grimpa le mur d'une maison et chercha une hauteur ou grimper pour observer les alentours en toute quiètude. une tour attira rapidement son attention. son toit rond offrait une vue dégagée et suffisament en hauteur pour observer le centre ville dans son ensemble.
Il sauta de toit en toit jusqu'à son refuge et scruta les lentours, confortablemùent installé sur le toit de tuilles rouges. La chaleur qui y régnait était agréable , et le jeune homme en profita pour prier un peu avant d'observer le marché. Il remarqua rapidement un curieux manège qui vu de la foule était invisible, mais qui apparaissait nettement une fois pris de la hauteur.
Des hommes chargeait des caisses dans un magasin pércis. C'était assez banal. ce qui l'était moins c'était que ces hommes faisaient des aller retour en provenance d'un bar de marins... et que c'était des agrdes de la ville qui portaient les caisses. Visiblement le capitaine de la garnison était plus que corrompu, il était payé pour faire accomplir à ses gardes des méfaits. la ville était officieusement aux mains de la pègre.
la tâche s'avérait plus lourde que prévue.
rache descedit rapidement de la tour et se dirigea vers le commerce qui se remplissait progressivement des caisses amenées par les gardes. le guildien se fraya un chemin à travers la foule, saisit un garde par le col, lui administra un coup de coude sur la jugulaire et le glissa dicrètement dans une rue adjacente et déserte avec la caisse et son contenu.
Le garde, sonné, gisait à terre en bavant. le moine e profita pour ouvrir la caisse qui révéla son contenu. Une plante verte. Une plante qu'il avait déjà vu dans un livre, et qui servait à faire une puissante drogue annihilant la volonté des personnes. lesd gardes servaient le cartel de la drogue. Si rache avait vu jusdte il y avait une bonne centaine de plantes. De quoi faire un aqua gigantesque à la dimension de la ville... pour prendre le pouvoir.
l'idée paraissait tellement évidente que l'apprenti guerrier monastique, s'élanca vers la tour ders gardes. il fallait arrêter non seulement le garde mais le cartel tout entier pour éviter cette action qui amènerait surement à la guerre civile.
le jeune homme partit en courant.

le jeune moine courait à travers la foule, écartant sans ménagement les gens qui gênaient sa course. le temps pressait. il grimpa sur les toits pour gagner du temps, et bondissant de maison en maison il atteint rapidement la tour des gardes, qui se tenait pourtant à une distance respectueuse du centre. il pénétra dans la tour, et détacha son sabre de sa ceointure, tout en vérifiant soigneusement les attaches qui mainetnaient le fourreau.
Il se retrouva nez à nez avec des gardes au détour d'une allée.Sans leur laisser le temps de réagir, il frappa le nez du premier garde d'un coup sec de sabre. l'homme s'effondra dans uin gargouillis sanglant. Le second garde avait déajà la main sur la poignée de son arme quand le guildine lui brisa le sternum d'une feinte appliquée. A sdon tour, l'homme s'ecroula, terrassé par le manque d'air.
Le moine se retourna juste à temps, car déjà les deux gardes restant l'attaquaient dans le dos. il para promptement les coups de tailles qui l'assaillaient et abbattit son arme sur le genoux plié de l'assaillant, dont l'os explosa. Incapable de se tenir debout, et torturé par la douleur, il chuta lourdement contre le sol de gré. Rache mit rapidement le dernier garde hors d'état de nuire en lui écrasant violemment son arme contre la tempe de l'homme. l'os craqua, et il eprdit connaissance.
le combat avait duré moins d'une minute. satisfait, le guildien, dégaina son sabre et le plongea dans le sang qui ruisselait au sol afin de le nourrir. Ce dernier absorba tout le liquide d'un rouge sombre et émit un petit éclat de satisfaction. le moine le remit dans son fourreau, et l'accrocha de nouveau avec les boucles de sécurité. Il avait bien fait de choisir un fourreau en bois, particulièrement interessant pour se battre sans tuer. Si les quatres hommes étaient mal en point et garderaient des séquelles toutes leur vie, mais ils n'étaient pas en danger de mort.
L'apprenti guerrier monastique décida de conserver sa lame et continua sa progression dans les boyaux de la tour de garde à la recherche du capitaine corrompu, ou d'au moins une preuve permettant de l'inculpêr légalement.

rache arriva enfin face à une porte en bois tout ce qu'il ya avit d'ordinaire. une porte qui serait passée inapercu au millieu de tant d'autre porte si il n'y avait pas été marqué en lettre d'or "CAPITAINE BRUCE HANFON, CHEF DE LA GARDE".
le moine se décida à entrer dans la pièce. il se retrouva nez à nez avec le dit capitaine, ainsi que trois de ses auxiliaires. Le chef de la garde, surpris, mais loin d'être idiot, devina rapidement les intentions du guildien, en avisant le sabre qu'il tenait à la main.
le guidlien se sachant découvert attaqua immédiatment, mais l'effet de surprise se volatilisa en même temps qu'il attaqua, et les auxiliaires en profitèrent pour tirer leur lames aiguisées de leur fourreau. Le capitaine, lui, en profita pour fuir lâchement. le guildien devait expédier le combat le plus vite possible pour rattraper l'être corrompu qui menait un complot contre sa propre ville.
Le sabre recouvert du fourreau en bois du jeune moine peina à arrêter les 3 coups d'estoc simultané portés par les auxiliaires, qui avaient moins une tête de garde de la ville que celle de truands notoire, habitué à infliger la mort.
En parfait guerrier monastique, Rache effectua une pirouette propre au mode de combat qu'il avait appris, gratifiant au passage d'un puissant coup de pied le garde qui se tenait le plus à gauche. Ce dernier recula sous le choc et s'affala contre le mur derrière lui. Rache para de nouveau les coups d'épée avant d'arracher d'un coup de taille sauté la machoire d'un des bandits/ auxiliaires, qui, tout en huralnt, lâcha son arme et s'enfuit.
Le troisième guerrier marqua un temps d'arrêt qui lui fut fatal, le fourreau de bois dur s'écrasa contre ses côtes, qui s'enfoncèrent, lui perforant ainsi les organes internes. Les trois hommes étaient à terre. rache administra un second coup de pied à sa première victime, histoire d'être sur qu'elle soit bien sonné.
le guidien s'engouffra dans le couloir qu'avait emprunté le cehf de la garde moins d'une minute plus tôt.
Bien que lourdement armé, l'homme était rapide et avait déjà creusé un écart considérable en lui et son adversaire. rache bondit par une fenêtre, explosant au passage le verre fragile, et atterit lestement sur un auvent en tuile, deux mètres plus bas.
Le guildien retrouva, etnatnt de se noyer dans la masse, le chef des gardes qui entra dans une maison à la porte d'un vert Kaki absolument horrible. le jeune moine emprunta le même trajet que celui qu'il poursuivait, et pénétra dans la demeure.
surpris, il se retrouva avec une dizaine de lance acérées pointées sur sa poitrine.

Derrière les hommes qui mencaiaent rache se leva une imposante créature. Hybride entre un ork et un humain, elle était parfaitement répugnante, mais dégageait une aura impressionante, témoin de sa force physique collossale, et de son charisme qui la rendait maitre de toute situation. Rache se trouvait en face du chef des brigands, ou plutot du cartel de la drogue, et il comprit immédiatement pourquoi il avait réussi à avoit tant d'homme sous ses ordres. On n'avait pas envie de la contredire.

- bienvenue dans ma demeure noble guerrier! j'ai cru comprendre que tu poursuivais mon fidèle compagnon et ami chef de la garde? je suis au regret de t'apprendre que je ne peux pas te laisser faire ca... c'est u imbécile, mais je l'aime bien. et surtout il pourra encore m'être utile.

les hommes qui tenaient les lances rirent tous de la pique lancée au chef de la garde, qui se révelait être en réalité un avertissement du genre "une fois que tu ne me serviras plus, je m'occuperais de ton cas". rache profita de ce moment de détente chez les hommes armés pour attaquer. Il saisit une torche qu'il vait repéré à sa gauche et la lanca au visage d'un des lancier, qui rompit les rangs à cause de la douleur engendré par les brulures. e même garde frappa son collègue de gauche avec sa lance en reculant.
parfait.
rache glissa sous les lances qui s'apprêtaient à l'embrocher et brisa les genous de deux hommes infortunés qui s'effondrèrent. Il para aisément une attaque du lancier qui se trouvait le plus à droite, avant de lui exploser le crâne d'un grand coup de sabre. l'heure n'était plus à faire dans la dentelle. il fallait survivre.
le jeune homme brissa la hampe d'une lance, saisit la pointe qui tombait et l'enfonca dans la gorge d'un soldat proche. Il se retrouva face aux 5 autres hommes qui s'étaient ressaisis. dont le chef de la garde d'Amstri.
Il accrocha son fourre à sa ceinture et saisit un bâton qui trainait au sol, vestige de la lance d'un défunt, et para les coups de piques qui lui étaient adressés. se glissant entre deux aversaire, il leur adressa à chacun une sucession de petit coup rapide qui enfoncèrent leur cage thoracique, et détruisirent les oragnes inetrne.
le moine lacha son baton et ressaisit le sabre, par un grand moulinet, il destabilsa un assaillant et parvint à lui briser la nuque d'un coup sec. il saisit la lance, et l'enfonca dans le corps surpris du dernier garde.
le guildien fit face aux deux derniers hommes rrestant: l'hybride, chef du groupe, et le chaf de la garde d'amstri, qui tenait fermement sa lance pour se donner une bonne contenance, mais un léger tremblement de son genous trahissait sa nervosité.
- a votre tour messieurs, lanca d'une voix mystérieuse le guildien avant de charger.

le guildien chargea. le chef de la garde qui était visé, évita promptement le fourreau meurtrier qui s'abbattait sur lui, grâce à une roulade. Il en profita pour abandonner sa lance, et dégaina une épée de la garde, arme magnifique, mais peu pratique, car elle avait surtout été étudiée... pour l'apparât. le Chef du cartel lui sortit une arme plus étonnante, un kentubou, c'est à dire un katana non aiguisé servant non pâs à trancher, mais à détruire. l'arme idéale pour cet adepte de la force brute.
le moine ne s'inquiètait pas cependant. Il n'avait jamais été battu en combat au sabre. il avait même battu 5 guerriers monastiques un jour. le chef des gredins s'avanca.

- tu es bien téméraire n'est-ce pas? reviens sur ta décision de nous vaincre! tu ne le peux pas! nous sommes un duo légendaire: les Hös'ings! nous avons remportés de nombreuses compétitions, et aucun groupe ne nous a mis en échec. alors, toi qui est seul, tu n'as aucune chnce, surtout si tu refuse de dégainer son sabre.

rache se remémora ce qu'il avait appris à la bibliothèque du monastère. C'était vrai. il avait en effet en face de lui un duo légendaire (le livre ou était inscrit les duos les plus puissants de l'histoire était son préféré, à tel point qu'il l'avait emprunté pour une durée très indéterminée de la bibliothèque). Il s'en moquait. Tous duos légendaires qu'ils étaient lui était un apprenti guerrier monastique, qui avait une mission à remplir afon de devenir un guildien aimé et respecté de tous, comme son père (ou presque).
le jeune homme changea cependant de stratégie et se mit dans la position défensive qui'il affectionait tant. le chef de la garde et l'hybride attaquèrent simultanément. les fous. ils ne recconnaissaient même pas une technique de défense monastique prafitement exécutée.
les deux hommes entrèrent dans le cercle défensif, l'épée blaya l'espace. Et fut arrêté... pour la première fois.
rache écarquilla les yeux: c'était bien la première fois que quelsu'un réussissait à rompre sa position défensive. Il regarda ses adversaire qui avaient croisés leurs épes pour parvenir à bout de l'action du guildien... une fissure très nette se faisait voir sur l'épée du corrompu.
Rache reprit alors l'attaque, dans une parfaite maitrise de l'escrime monastique, il frappa les deux hommes qui peinèrent à arrêter ses coups, des goutes de sueur perlèrent bientôt devant les yeux du moine. C'était incroyable. malgré la difficulté que leurs causaient les coups violents du guildien, les deux hommes se protégeaient l'un l'autre, sans jamsi baisser leur garde. Il fallait les séparer à tout prix.
l'apprenti guerrier monastique s'écarta et se concentra. le bois de son fourreau avait souffert avec les assauts du combat. il fallait à tout prix qu'il gagne avant que le fourreau ne se brise, ou alors il perdrait ses voeux.
le guildien attaqua de nouveau. mas cette fois il concentra ses coups sur le chef de la garde, son épée fissurée se brisa enfin quand rache lui administra un redoutable coup de taille qu'il parvint néanmoins à arrêter. Sans arme l'homme était perdu. le guildien continua à concentrer ses coups sur lui, obligeant le puissant hybride à parer, mais la force de ce dernier ne parvenait pas à compenser son manque de rapidité et de souplesse. rache parvint enfin à faucher les jambes de l'hybride, très rapidement, ce dernier s'écroula, mais rache délaissa cette proie facile et frappa de toute ses forces l'homme corrompu, en plein dans la clavicule. le coup était tel que, malgré la présence du fourreau, l'épée s'enfoca dans le corps de l'homme.
Son sabre chanta. particulièrement heureux de pouvoir se nourrir de bon sang frais, malgré la présence du fourreau.
rache retira son épée et se retourna vers l'hybride. qui déclencha un mode berserk. le seul fait de déclencher ce mode provoqua une puissante onde de choce qui fit exploser le batiment. Rache se retrouva enseveli sous les décombres, son sabre lui échappa des mains.
Une main puissante le saisit à travers les gravas et le dégagea. il se retrouva en l'air, devant le chef des brigands qui suintait du sang. un effet du Berserk. ses yeux fous étaient révulsés. Il lanca Rache à travers la pièce, qui parvint miraculeusemnt à se remttre sur ses pieds.
l'ork courait vers lui en bavant. parfaitement répugant. Rache l'évita et saisit un objet au hasard. il se retrouva avec un balais entre les mains. plus précisément un manche à balais brisé. prafit. le jeune homme attendit patiemment que le monstre l'attque, évita un coup de kentubou qui lui aurait probablement arraché la tête et enfonca l'épiu entre les côte de la créature, qui rugit, et s'arrêta momentanément. Rache saisit la lame brisé du chef de la garde et, attaquant dans le dos, planta la lame brisé dans la jugulaire du monstre. un flot de sang jaillit, et l'hybride s'écroula.
Haletant, ruisselant de sueur, rache se laissa tomber au sol. Il n'avait pas encore mené de combat dans de tel condition, et il était étrangement heureux d'avoir réussi la mission. il déplorait malgré tout la mort du chef de la garde, il aurait préféré le faire chanter ou le livrer aux mains de la justice.
Rache chercha son sabre de sang, et l'attacha à sa ceinture, puis rammassa le Kentubou de l'hybride. c'était une arme simple mais efficace. Maintenant, il fallait rentrer à la guilde pour faire un rapport.

Quête terminée: gain, kentubou simple.